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Appellation (nom) Aleron (À dire Alerone) Lesage (À dire Lessage) Age, si connue 27 ans Groupe / Clan Ordre de la Lame Noire. On peut aussi dire lOrdre des Assassins Grade / Métier Maître de l'ordre de la Lame Noire et maître assassin

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Ulkùn, il y a 27 ans, dans une chambre des pleurs se firent entendre dès la fin de l’accouchement. Une servante prit le nouveau-né, délicatement, la servante souriait ses yeux étaient mêmes remplis de larmes de bonheur. La nouvelle mère, reprenant son souffle demanda l’enfant. La servante l’enveloppa dans un linge de soie et l’apporta à la mère, pendant ce temps elle dit.
« C’est un garçon madame, soyez heureuse ! »
La mère le prit, le caressa et l’embrassa tendrement, c’était sa chair et son sang mais elle devra s’en séparer. Elle continua de le regarder, dans un soupir profond, elle dit.
« Aleron sera ton prénom. »
« Oh quel magnifique prénom madame ! » Dit la servante.
La mère sourit et remercia la servante qui lui sourit à son tour. Après plusieurs heures de repos bien mérité, la mère se leva, le regard vide, elle se dirigea vers Aleron l’enveloppa dans son linge blanc et le mit sur son lit. La mère se vêtit assez chaudement en cette période d’hiver. D’ailleurs celui-ci était très rude ces temps-ci. Après ceci, la mère prit une couverture et entoura le bébé pour qu’il n’ait pas froid. Elle sortit de sa chambre et déboucha devant un escalier. Elle le descendit et arriva dans un grand hall qu’elle connaissait très bien. Des tableaux et des parures ornaient ce hall et des dorures sur le plafond. Elle passa la porte. Tout à coup, un grand courant d’air fit retirer son voile qu’elle portait autour de sa tête. La neige tombait, le ciel était gris, la mère remit son voile pour se protéger du froid et de la neige par la même occasion. Après plusieurs minutes de marche qui l’avaient épuisées –oui vu qu’elle était enceinte elle ne pouvait plus bouger- elle déboucha devant une sorte de couvent, un prieuré ou quelque chose qui s’en rapproche. Devant la porte, elle attenait, tenant l’enfant, le caressant et l’embrassant. Au moment où elle allait frapper à la porte, un homme intervint, caché par une capuche blanche vêtu bizarrement pour cette époque. Il l’interpella.
« Que faites-vous avec cet enfant ? »
« Je ne peux rien vous dire monsieur. » L’homme la regarda, il put lire dans ses yeux qu’elle abandonner le bébé.
« Non madame, ne faites pas ça. La mère commença à pleurer. L’homme la serra dans ses bras puis la regarda. Il ajouta. Je peux m’en occuper si vous le voulez. »
« Je ne vous connais pas mais j’ai un bon pressentiment envers vous. »
« Je suis flatté madame. Comment se prénomme-t-il ? »
« Aleron. Elle ne dit pas le nom de famille. L’homme s’en contenta. Le garderez-vous près de vous ? L’élèverez-vous mieux que je ne l’aurais fait ? »
« Madame, rentrez chez vous maintenant, je m’en occuperai, je vous le promets. La mère embrassa Aleron. Allez madame, n’ayez crainte. » Puis elle partit sans se retourner. Mais on pouvait entendre ses pleurs.
Après cet évènement, l’homme éduqua l’enfant, l’emmenait à l’école, enfin toutes les choses que font les pères responsables. Puis un jour l’enfant l’appela « papa » puis un autre jour, lorsqu’il était plus grand « père ». La mentalité d’Aleron évolua, ce n’était plus le gentil petit garçon, c’était un adolescent de 14 ans maintenant et Mr Lesage, son père adoptif lui avoua la vérité. Mais Aleron se ficha de cette vérité. Son seul lien familial était son père adoptif. Ils se ressemblaient peu certes, mais au fond de lui, Aleron savait que c’était lui son père. Pas biologique certes mais c’est cet homme qui fit de lui ce qu’il était maintenant. Peut-être serait-il devenu quelqu’un d’autre si son père avait été un paysan ou même un preux chevalier. Aleron était fier de ce qu’il était et le faisait savoir. Après cette révélation, Aleron fut surpris de savoir que Mr Lesage était en vérité un assassin.
« Mais je sers une cause juste. » Disait-il pour se justifier.
« Pourquoi père ? » Ajouta Aleron, stupéfait.
« Certains secrets méritent d’être révélés, d’autres cachés. Des hommes mentent sur leurs véritables motivations, mentent sur des points qu’ils disent ne pas pouvoir révéler aux yeux du monde. »
« Ainsi, certains secrets nous sont cachés depuis des éternités. »
« Oui, des complots qui ont eu lieu par exemple, moi je mets un terme à tout ça. Et je te demande une chose maintenant, veux-tu suivre la même voie que moi … mon fils ? »
« Père, je vous suivrai. »
« Mais attention, il y a des restrictions. »
« Ah oui ? Lesquelles ? »
« Tu ne dois pas te faire connaître. Disparaître des registres, éviter de tomber amoureux aussi. Et c’est ça le plus dur, je ne te le cache pas. Tu es toujours prêt ? »
« Oui, commençons alors père. » Dit-il tout excité par la nouvelle vie qui s’annonçait pour lui.

Des heures passèrent, des jours, des semaines, puis des mois, et enfin des années durant lesquelles Aleron s’entraina à l’escalade –important pour vite commettre son assassinat et vite disparaître-, la vitesse, la dissimulation, le combat à main nue, le combat avec toutes les armes possibles, la parade et ce que l’on appelle le parkour qui va avec l’escalade. Tant d’acharnement pour un jour recevoir un cadeau de son père : une lame secrète (Assassin’s Creed), une fine lame indestructible et cachée dans une protection à l’avant-bras gauche puis il reçut aussi une tenue d’assassin, blanche, avec des bandes rouges, la pointe de la capuche en forme de bec, ce qui signifiait un aigle … un assassin.
D’autres années passèrent où il fit ses premiers assassinats pour la noble cause. Aleron était devenu un maître assassin maintenant, son père était maintenant trop vieux pour faire les assassinats mais pas assez pour mourir. Pourtant, un jour qu’il alla au marché pour acheter de la viande, des gardes passaient par-là. Quelqu’un leur aurait dit que le père adoptif d’Aleron était un assassin. Les gardes l’arrêtèrent. Le lendemain, un échafaud était déjà prêt pour la pendaison. Aleron regardait l’échafaud puis rebroussant chemin vers chez lui, il entra dans la chambre de son père et découvrit une petite dague d’acier dans une armoire. Il s’en arma et à l’heure de la séance de pendaison il alla sur la place principale et y découvrit son père, déjà la corde au cou mais toujours vivant et en bonne santé encore maintenant. Se mêlant dans la foule comme une ombre, Aleron s’approcha de l’échafaud. Le juge lança un discours.
« Aujourd’hui, nous sommes convaincu que cet homme est un assassin, meurtriers d’hommes nobles, d’enfants et de femmes –il exagérait-, cet homme a surement du vous prendre une personne chère à vous mesdames et messieurs. Voulez-vous le voir mourir ? »
Les gens commencèrent à hurler des « oui » et à insulter le père d’Aleron. Alors que le juge levait la main pour donner l’ordre d’être prêt de tirer sur le corde au bourreau, le père d’Aleron lui fit un signe de la tête en guise de « non ne fait rien ». Aleron nie l’ordre de son père et sauta sur l’échafaud et au moment où le juge aller baisser sa main, le maître assassin sortit sa lame secrète de son gant et rentra la lame dans la gorge du juge. Du sang gicla sur la tunique blanche de l’assassin. Puis Aleron sortit la dague et se rua sur le bourreau qui ne put éviter le coup et se retrouva à terre, la gorge ouverte. Des gardes allèrent à leur tour sur l’échafaud donc Aleron s’empara de l’épée du juge qui était à son fourreau et dans une élégance que peu de seigneurs pouvaient avoir, il mit à terre 6 gardes, faisant des contres que peu de personnes peuvent faire. Alors qu’il continuait de se battre, Des gardes munis de haches et de claymores arrivèrent. Aleron sauta sur la corde qui retenait son père et la coupa pour que son père puisse fuir. Mais des gardes l’en empêchèrent. Il dû prendre une épée qui était au sol et se battre. Il était encore doué mais son agilité d’antan était révolue. Alors que le combat faisait rage, le père et le fils se lancèrent un regard et prirent la fuite en escaladant une échelle non loin de là. Des archers venaient d’arriver sur les toits. Ils encochèrent des flèches non loin des deux assassins. Le père fut touché par une flèche dans l’épaule gauche. Il réussit à l’enlever toute en finesse malgré la douleur que la flèche procurait. Il continua de courir, suivi de son fils. Les deux maîtres assassin continuèrent à grimper et à courir jusqu’au moment où les gardes ne réussir pas à les rattraper et donc les perdre. Derrière des cheminées, bien cachés, les deux maîtres assassins se regardèrent. Reprenant leur souffle, ils furent surpris de croiser une patrouille sur les toits. La douleur à l’épaule se fit plus grande, les deux assassins essayèrent de passer inaperçus mais le père faisait plus de bruit avec sa blessure. Tout à coup, ils se levèrent et sprintèrent jusqu’à la fin du toit et y sautèrent. Ils s’agrippèrent à la même corniche, les gardes arrivèrent au bout du toit et virent les deux assassins escaladés la maison. Ils prirent leur arc et le bandèrent, ils tirèrent leur flèche mais Aleron put éviter celles qui devaient le toucher. Son père eu moins de chance. Alors qu’il allait poser sa main sur le toit de la maison, deux flèches lui arrivèrent dans le dos et une autre dans la cuisse droite. Le père hurla de douleur puis lâcha prise, mais Aleron attrapa sa main puis le hissa sur le toit. Aleron le cacha derrière une cheminée et revint vers les soldats qui avaient ramenés une échelle et l‘avait posée le long du mur. Les soldats commencèrent à grimper appuyés par un archer qui avait déjà bandé son arc. Aleron lui sauta dessus et lui enfonça sa dague dans le ventre. Puis il sauta sur l’échelle et commença à faire tomber les gardes. Puis lorsqu’ils étaient tous à terre, Aleron leur sauta dessus et commença un combat qui se finit très rapidement. Il remonta sur l’échelle et se dirigea vers la cheminée et découvrit que son père n’était plus là. Il le rechercha pendant de longues heures dans toute la ville d’Ulkùn en vain. Il dû rentrer chez lui. Il s’y restaura et se reposa après s’être lavé. Le lendemain il apprit que son père serait sur l’échafaud une nouvelle fois et devant le peuple.
« Quels idiots, ils continuent à donner ce spectacle au publique alors qu’ils pourraient le faire à huit-clos. Je ne pourrais pas refaire ce que j’ai faits hier une nouvelle fois. Mais j’irai quand même. »
Quelques heures plus tard, Aleron retourna sur la place où siégeait l’échafaud, la garde avait triplée, mais Aleron put passer car il s’était changer en habits plus citadins. Pour se battre, il avait prévu de prendre un arme sur un garde qu’il allait assommer. Un nouveau juge fit un discours mais il hésitait fortement, peur e voir une lame dans sa gorge. Aleron poussa des gardes et sauta sur l’échafaud. Le juge prit de peur se figea, Aleron saisit sa chance et sortit du fourreau du juge l’épée. Il rapprocha le juge de lui et mit la lame sous sa gorge et hurla.
« NE BOUGEZ PLUS ! QUE PERSONNES NE BOUGENT ! OU IL MOURRA »
Tous obéirent, personne ne bougea puis le bourreau saisit sa hache et attaqua Aleron. L’assassin dû pousser le juge contre une partie de l’échafaud. Le juge se réveilla et vit le combat. Des gens hurlaient, le juge rassembla tout son courage et actionna la commande pour que le sol de l’échafaud s’ouvre et que le condamné soit pendu.
« NON !!!! » S’écria Aleron. Le père avait puisé toutes ses forces hier mais il résista tout de même. Quelques secondes plus tard, Mr Lesage mourut. Aleron rassembla toute sa haine et tua le juge et tous ceux qui se trouvaient dans un rayon de 15 mètres. Les horrifiés, coururent partout, fuirent. Aleron s’empara du corps de son père et partit de la place.

Quelques jours plus tard, Aleron enterra son père derrière chez lui. Il lui fit ses adieux. Aleron partit en exil pendant deux ans pour qu’on l’oublie. Maintenant, à 27 ans, Aleron était devenu un meilleur assassin et méritait son titre de maître assassin que lui avait conféré son père des années auparavant. Maintenant il n’avait qu’une chose en tête : découvrir qui avaient dénoncé son père. Il voulait aussi créer un ordre. L’ordre des Assassins … Avec cet ordre il continuera ce qu’a fait son père durant toute sa vie …




Description physique : Assez grand (approximativement 1mètre 88 cm) et pesant 76 kg, Aleron possède une grande agilité grâce à l'escalade. La musculature de son corps n'est pas très imposante mais elle sert très bien à porter de lourdes choses. Aleron est très rapide. Ses yeux sont marrons et ses cheveux, très courts sont d'un noir intense. Sa peau est blacnhe mais finement bronzée. Il a l'allure d'un grand seigneur et est assez beau garçon.

Description mentale : Envahis de haine, Aleron est -grâce à son physique- un charmeur invéttéré -ce qui lui permet de soutirer des informations-. Il est intrépide et sérieux. Il ne connait pas vraiment la plaisanterie donc son humour est assez noir. Niveau intélligence, il se débrouille très bien, son père l'ayant aidé dans ses études, il ne peut que le remercier. Il sait contrôler sa colère et sa haine. Il est sérieux et sait se faire obéir.

Ton petit nom, c'est quoi? x) Sauron pour ceux qui me connaissent ou Aleron pour les autres. Et Maître pour mes disciples. Une question? Une remarque? Très beau forum. Je te félicite Elicia Comment as tu connu le forum? Ben par celui que nous connaissons tous pardi ! As-tu des remarques sur les membres? Que des nuls ... je ne sais même pas ce que je fais ici ... Mais non je plaisante ! Ceux sont de bons rpgistes et de bons potes !

... ... ?/7, environ ...

Bienvenue à toi. C'est chouette , pour une fois c'est moi qui te dis bienvenue et pas l'inverse^^.

Welcome, assasin^^

Merci à vous ! J'ai retrouvé l'avatar que tu demandes Nari. Le voici.

Merci!!